Cet été, nous nous sommes reposés, nous avons bougé, nous avons vu des amis, nous avons souri, ri, nous nous sommes couchés un peu plus tard, nous sommes sortis de notre quotidien, nous avons fait quelques folies, essayé de nouveaux plats, de nouveaux drinks, nous nous sommes dit « C’est pas grave si le ménage n’est pas fait ». Nous avons…vécu.
Avec la rentrée arrivent maintenant les agendas remplis, la course contre la montre, les horaires à respecter, les activités parascolaires des enfants, les courses, le ménage, le rangement. Tout un contraste non ? Alors, comment faire pour ne pas avoir l’impression que notre vie ne nous appartient plus à partir de maintenant ?
En fait, si nous avons l’impression que notre vie ne nous appartient plus lorsque la rentrée arrive, nous n’avons qu’une personne à blâmer…nous. Je sais, c’est dur à entendre. C’est pourquoi il peut être intéressant de répondre à LA question essentielle ?
– Quelles sont mes priorités cet automne ?
Ca a l’air cliché comme question mais toutes les réponses sont là. Je reviens avec mon image préférée, le cercle, représentant la tarte de mes priorités, que je divise par pointe d’importance : Ma famille, mon travail, mes loisirs, mon épanouissement personnel, le sport, mes cours de peinture etc.
Très important : bloquer son agenda avec nos rendez-vous personnels parce que c’est la première chose que nous ferons sauter. Par exemple, le vendredi soir, de 19 à 21 heures, je découvre un nouveau film. C’est la seule façon dont je peux être certains de rendre ce rendez-vous important.
L’idée ici est d’inviter un peu l’été chez-nous cet automne. Qu’est-ce que j’ai aimé de l’été que je veux perpétuer cet automne ? Le calme d’un 5 à 7? La découverte d’un nouveau village? Essayer un nouveau plat? Faire du sport? Lire davantage? Je choisis de bloquer à mon agenda deux heures que j’appelle « découverte s » pour perpétuer vcette habitude et retrouver cet état d’esprit où j’étais bien. Ainsi, je m’approprie un morceau d’été que je garde toute l’année…J’invite l’été à passer l’automne chez-moi…
– E